LE DOUANIER S’ATTENDAIT À TOUT… SAUF ÇA..!…PTDR… Juan quitte l’Espagne et traverse la frontière entre l’Espagne et la France, sur une mobylette et portant un gros sac sur ses épaules. Un douanier interloqué l’arrête avant de lui demander : « Qu’est-ce que tu as dans ton sac ? » Juan lui répond : « Du sable. » Évidemment, le douanier n’est pas dupe et lui dit de descendre de sa mobylette. Il ouvre le sac, répandant le contenu sur le sol. Du sable, il n’y a que du sable et n’y trouve rien. Juan commence à ramasser le sable du mieux qu’il peut, laissant le douanier derrière lui.Or, une semaine plus tard, Juan traverse à nouveau la frontière et le douanier l’arrête encore une fois, lui demandant le contenu de son sac. Toujours du sable. Le douanier n’est pas convaincu et met Juan en détention pour la nuit, le temps d’obtenir des analyses du « sable ».Les analyses arrivent le lendemain et montrent bien que c’est du sable. Alors, Juan repart sur sa mobylette. Pendant quelques années, tous les deux ou trois jours, le petit manège se poursuite. À chaque traversée de la frontière de Juan, le douanier fouille le sac de sable, il envoie régulièrement des échantillons afin de les analyser, mais ne trouve toujours que du sable. Puis, quelques autres années plus tard, Juan cesse ses voyages en mobylette. Le douanier a pris sa retraite et se trouve en vacances en Espagne. Là-bas, il rencontre Juan dans un petit bar de plage.« Hé, je te reconnais toi !T’es pas le type qui traversait la frontière en mobylette, toujours avec un sac de sable ? »Et Juan le reconnaît aussi, avant de répondre : « Bien oui, c’est moi. »« Qu’est-ce que tu deviens ? » lui demande alors le douanier.Juan lui répond tranquillement : « Je me suis acheté ce petit bar, je mène une vie tranquille. »Mais une question brûle les lèvres du douanier… « Je suis à la retraite maintenant, je n’ai plus aucun pouvoir. Entre toi et moi, j’aimerais savoir une chose qui me taraude depuis la première fois que je t’ai vu… Faisais-tu de la contrebande ? »Juan est amusé et lui répond : « Oui, c’est comme ça que j’ai pu me payer ce bar. »Et c’est là que le douanier s’approche et lui demande tout bas : « Et tu passais quoi frauduleusement ?
»Juan lui répond, encore plus amusé : « Des mobylettes. »
Dernière modification le jeudi 10 Novembre 2016 à 10:22:10
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